Spectacle BUTO / Danse Compagnie NUBA présente

Tout l'or du ciel

création 2006, Ré-création 2008
Durée 60 min.

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Chorégraphie :

Juju ALISHINA

Interprètes :

Juju ALISHINA
Nelson FERREIRA

Costumes :

Yukari YANAGI
Setsuko OHTANI

Creation bande-son :

Frédéric THERISOD

Régie lumière :

Margaret OLLIVEAUX

Assistante Chorégraphe : Catherine BARBE

VIDÉO ET DOSSIER POURRONT ETRE ENVOYES À LA DEMANDE DES PROFESSIONNELS UNIQUEMENT

 

photos: Ko'S, p

Première partie: Juju Alishina solo 23min.
Tout l'or du Ciel
Dans un pays imaginaire, lors d'une époque imaginaire
déjà vécue dans notre mémoire.


Tout l'or du Ciel est une chorégraphie de Juju ALISHINA,
créée à Istanbul en juin 2006, puis reprise à Paris dans le cadre du Festival de Butô en 2006.
La Cie NUBA a été fondée par Juju Alishina à Tokyo en 1990, et s’articule autour de productions chorégraphiques interprétées par plusieurs danseurs. "Tout l'or du Ciel" rappelle dans le cadre de cette création Juju Alishina en tant que danseuse soliste.
Le spectacle se divise en trois parties : la mer, la terre, le ciel.
Cette héroïne fait appel à un répertoire de jeu de plusieurs couleurs de personnages féminins : l'orgueilleuse reine de la mer, une petite coquine, la gracieuse religieuse, la courtoise coquette, chaque caractère devenant parfois nerveuse, débauchée, monomaniaque, compliquée, maladroite et handicapé mais jamais malheureuse...
Elle perpétue son voyage, à travers diverses épreuves, jusqu'à sa destination finale (le ciel).
Dans la nouvelle version de 2008, un nouvel interprète est intégré dans le spectacle et intervient avant l’arrivée de la partie du ciel .


Quelquefois, elle demande la faveur de la « nature », mais elle lui échappe.
Quelquefois, elle se confronte à son ego et à son dieu.
Pour traverser la frontière elle se confronte à une ruche de guêpes.
Finalement, gagnera-t-elle la clef de la porte du paradis ?


Le spectacle a été crée en juin 2006 à Istanbul.
Le public Turc nous a transmis à travers de spectacle, sa réflexion sur le reflet de la notion d'art total et vivant à travers la cité. Cette effervescence de l’ancien et de l’actuel a accompagné l’ensemble de cette première représentation, nous pouvions alors entendre les prières du Coran venant de la rue et l’atmosphère de la ville et de ses habitants en écho à la création.
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